Professeure titulaire au département de chirurgie et vice-doyenne à la recherche et aux études supérieures de la Faculté de médecine de l’Université Laval
20 questions pour Lucie Germain
1. Où avez-vous grandi ?
J’ai grandi à Deschambault. C’est un beau village, à mi-chemin entre Québec et Trois-Rivières, situé le long du fleuve Saint-Laurent, dans la province de Québec. Mon père avait une ferme laitière et ma mère était enseignante.
2. Où avez-vous fait vos études?
Je suis allé à l’école primaire de Deschambault. Au secondaire, j’ai étudié dans la communauté voisine à la polyvalente de Saint-Marc-des-Carrières. J’ai ensuite fréquenté une école privée pour ma dernière année du secondaire et mon cégep (collège d’enseignement général et professionnel, l’établissement postsecondaire préuniversitaire du réseau de l’éducation du Québec), appelé Collège Notre-Dame-de-Foy, qui se trouve à Saint-Augustin-de-Desmaures, tout près de la ville de Québec. Au CEGEP, j’ai choisi le programme d’études générales comprenant les sciences pures et les sciences de la santé, parce que je voulais que de nombreuses portes s’ouvrent à moi à l’université. J’ai fait un baccalauréat en physique à l’Université Laval, à Québec. À l’époque, je voulais travailler en radiothérapie ou dans le domaine des lasers et leur application en médecine.
Après ma première année de baccalauréat, j’ai eu l’occasion de travailler dans deux laboratoires pendant l’été. Le premier était un laboratoire de recherche en physique qui se concentrait sur l’amélioration des lasers CO2. C’est alors que j’ai réalisé que je passerais des heures et des heures à aligner les lasers avant de pouvoir effectuer des expériences. Je ne trouvais pas cela très excitant. Bien sûr, aujourd’hui, il est beaucoup plus facile de travailler avec des lasers, mais à l’époque, c’était un long processus.
Publié septembre 2021.