Partager cette pageLe Réseau de cellules souches (RCS) est un organisme pancanadien sans but lucratif qui soutient quatre objectifs principaux : financer la recherche sur les cellules souches et la médecine régénératrice (MR); former la prochaine génération de travailleurs hautement qualifiés; permettre la mobilisation des connaissances issues de la recherche; et améliorer la préparation à la commercialisation des innovations liées aux cellules souches et à la MR.
Du laboratoire à la clinique, notre but est de propulser les activités scientifiques qui profiteront aux Canadiens, aux Canadiennes et à tous. Fondé en 2001 avec le soutien du gouvernement du Canada, le RCS est passé de quelques dizaines de laboratoires à plus de 270 groupes de recherche de classe mondiale, soutenant plus de 250 projets de recherche et 30 essais cliniques. Il a contribué au démarrage ou à l’amélioration de plus de 25 entreprises biotechnologiques et à la formation de plus de 7 000 travailleurs hautement qualifiés. En 2021, le gouvernement du Canada a réitéré sa confiance et son appui à l’égard du RCS en y investissant 45 millions de dollars pour la période allant de 2022 à 2025. En 2023, le gouvernement du Canada a annoncé l’octroi de fonds supplémentaires au RCS par l’entremise du Fonds stratégique des sciences, qui soutiendra le RCS jusqu’à la fin de la décennie.
Notre plan stratégique
Le nouveau plan stratégique du RSC, Accélérer 2025-2029, vise non seulement à « accélérer »
la recherche sur les cellules souches et la MR, mais aussi à cultiver une communauté de la recherche dynamique, qui est nourrie par des talents exceptionnels, une excellence inébranlable et une passion commune pour la realization d’avancées scientifiques transformatrices.
La nouvelle vision et le nouveau mandat du Réseau mettent l’accent sur ce qui compte le plus : les gens. Qu’il s’agisse d’atteindre les gens par la recherche, la formation et le mentorat, ou plus directement grâce aux thérapies basées sur les cellules souches et la MR qu’il aide à faire cheminer jusqu’aux patients, le Réseau de cellules souches reste inébranlable dans son engagement, dans le cadre de tous les efforts qu’il mène, à avoir le plus grand impact possible au bénéfice de tous.
Notre vision
Des vies transformées par la médecine régénératrice
Notre mandate
Accélérer la recherche en médecine régénératrice au bénéfice de tous
Grâce à cette stratégie, le Réseau de cellules souches souligne qu’il demeure inébranlable dans son engagement envers les chercheurs canadiens qui font avancer les thérapies de demain axée sur les cellules souches et la MR.
Comme il l’a fait tout au long de son histoire, le RCS continuera de favoriser une communauté de recherche pancanadienne forte et diversifiée, une communauté unie par une vision commune : transformer des vies grâce à la médecine régénératrice. Cette vision se réalisera grâce à des partenariats, à la collaboration et à une ferme conviction que la recherche canadienne fait prevue d’excellence et a la capacité d’offrir des produits de MR aux patients.
Notre déclaration d’EDI
La meilleure science est la science inclusive. Le Réseau de cellules souches s’engage à cultiver et à préserver une culture d’inclusion, de diversité, d’équité et d’accessibilité. Nous valorisons les différences individuelles, les expériences vécues, l’expertise et les connaissances des membres de notre communauté. Nous accueillons favorablement les contributions uniques des partenaires, des employés et des membres de la communauté, quels que soient leur âge, leur ascendance, leur culture, leur identité de genre, leurs capacités physiques, leur race, leur religion ou leur orientation sexuelle. Ensemble, nous alimentons la médecine régénératrice.
Déclaration de reconnaissance du territoire autochtone
Le travail du Réseau de cellules souches du Canada s’effectue d’un océan à l’autre et sur le territoire traditionnel, ancestral et non cédé de nombreux peuples et nations autochtones, y compris la nation algonquine Anishinabeg, où est situé le siège social du RCS. Le RCS reconnaît et respecte, et les considère avec l’égard qui leur est dû en tant qu’intendantes traditionnelles des terres et des eaux où nous travaillons et nous nous réunissons.
